Thibault (promotion 2021) Elève ingénieur en première année à l'ENSIL-ENSCI (Limoges)
Mon expérience est assez spéciale et je pense qu'elle peut aider certains lycéens qui ont le même profil que moi à ne pas reproduire la même erreur.
Tout d'abord j'étais élève au lycée Edmond Perrier en tant que lycéen, j'y ai obtenu mon BAC S mention bien, puis est venu le moment de faire son choix sur Parcoursup.
Intéressé par les sciences, je me suis naturellement dirigé vers les classes préparatoires PCSI.
Je pensais faire le bon choix en classant dans mes voeux les prépas les plus "prestigieuses" en priorité. J'ai donc été accepté dans une prépa dans une grande métropole régionale ayant une « bonne » réputation.
Cependant ma première année ne m'a pas laissé un bon souvenir: des classes surchargées de 45 élèves, une pression permanente et le manque de pédagogie rendent l'apprentissage difficile. Un nombre non négligeable d'élèves a été contraints d'abandonner en première et deuxième année malgré leur bon niveau.
J'ai donc demandé de rejoindre la prépa de Tulle en deuxième année pour reprendre confiance en mes capacités.
J'y ai découvert une équipe pédagogique dévouée et compétente, une atmosphère de classe studieuse et bienveillante ainsi que de petits effectifs.
Enfin, en grande partie grâce à tout cela, j'ai réussi à intégrer l’école ENSIL-ENSCI filière ELT dans laquelle je m'épanouis, via le concours CCINP.
Pour conclure : le prestige ou la taille d'une classe préparatoire ne détermine pas votre réussite, seule votre détermination et votre travail seront importants, alors autant choisir une prépa qui vous aidera à réussir comme celle d'Edmond Perrier.
Nicolas (promotion 2020) Elève Ingénieur en deuxième année à Phelma (INP de Grenoble)
J’ai été élève 3 ans dans la PREPA du lycée Edmond Perrier.
Ce que j’ai aimé durant ces 3 ans, c’est la proximité que chaque élève peut avoir avec ses professeurs. En effet, obtenir un tel suivi personnel à un tel niveau d’étude me semble être un atout d’une grande valeur.
De plus, dans ces petits effectifs, un climat familial s’installe et chacun est à l’aise à sa façon au sein de la classe. Cette cohésion permet à tous de faire du mieux qu’il peut sans être freiné par l’atmosphère opprimante de la compétition, comme dans certaines grandes PREPA étoilées.
Enfin, si des élèves souhaitent entrer dans les écoles les plus prestigieuses, les professeurs seront derrière eux pour les y propulser. Les sujets les plus tordus seront mis sur la table et les aides les plus complètes suivront.
Cette PREPA sait s’adapter aux ambitions de tous.
Merci pour ces 3 ans.
Jean-Henri (promotion 2019) Troisième année à l’ENTPE à Lyon, double cursus ingénieur-architecte ENSAL
La vie pendant la prépa est assez contradictoire, d’un côté c’est éprouvant de par la charge de travail (bien) plus importante qu’au lycée, et le rythme plus soutenu mais ici on peut s’appuyer sur un groupe de classe plus soudé, en partie car il est réduit. Cependant, la (relative) pression n’empêche de bien vivre la prépa, c’est beaucoup plus simple quand l’équipe enseignante vous connait parfaitement et que le dialogue est ouvert, comme c’est le cas à Tulle. Pendant les deux ou trois années que dure la prépa et quelle que soit la poursuite d’étude, l’habitude de travail et la gestion du stress acquise pendant la prépa sera utile, ce sont juste deux ans bien investis. "
Olivia (promotion 2019) Troisième année à Polytech Orléans - Génie physique et systèmes embarqués
J’ai étudié à la prépa de Tulle de 2017 à 2019. Cette prépa n'a pas été mon premier vœu mais je ne regrette pas du tout de l'avoir intégrée. Il est vrai que le travail était important mais l’environnement du lycée m’a aidée à atteindre mes objectifs. Nous avions une salle attitrée pour chaque promo ce qui nous permettait de travailler quand on le souhaitait pendant nos heures libres, même le soir. Pour ceux qui étaient à l'internat, nous y avions aussi un accès illimité. Je n'ai pas ressenti de "compétition" comme on peut l'entendre quand on parle des prépas. Au contraire, j'ai travaillé avec les autres étudiants et on s’entraidait. En plus, les professeurs nous encourageaient et nous aidaient beaucoup. A la fin des deux années, j’ai intégré une école qui me plaisait.
Charlotte (promotion 2019) Troisième année à l’ITECH Lyon
" J'ai réalisé mes deux années en classe préparatoire au lycée Edmond Perrier. Le changement entre le lycée et la classe préparatoire est assez important mais au lycée Edmond Perrier la classe préparatoire est très familiale, il y a donc une bonne cohésion au sein de la classe. De plus, les professeurs sont à l'écoute des étudiants et répondent à toutes nos questions ce qui m'a permis de progresser et d'atteindre mon objectif. Malgré les difficultés je garde un très bon souvenir de mes deux années en classe préparatoire au Lycée Edmond Perrier. "
Maréva (promotion 2018) Diplômée de SIGMA Clermont
Mes deux années en classe préparatoire au lycée Edmond Perrier de Tulle resteront pour moi les plus accomplies de ma scolarité.
J'y ai acquis de solides bases en maths, physique, chimie, anglais... ainsi qu'une rigueur dans le travail qui se matérialise ensuite par une satisfaction du travail bien fait.
Je conseille à tout étudiant cette classe prépa notamment parce que l'effectif y est réduit.
Les professeurs, toutes matières confondues, nous connaissent personnellement et nous assurent un soutien sans faille quelles que soient les circonstances.
En discutant avec des camarades de ma promo à SIGMA, je m'aperçois que venir d'une grande prépa ne signifie pas forcément être mieux formé.
En effet, beaucoup d'entre eux ont ressenti une pression importante, ont eu des devoirs surveillés le samedi et/ou étaient trop nombreux en cours...
Que vous alliez dans telle ou telle prépa, vous développerez le même esprit de travail et pourrez donc prétendre aux mêmes grandes écoles.
Pour moi, cela ne dépend pas du prestige du lycée puisque les professeurs s'adaptent aux ambitions de chacun en modulant leur enseignement.
Aujourd'hui, j'utilise tous les jours ce que j'ai pu apprendre en prépa et je donne notamment des cours particuliers en sciences.
Je garde un très bon souvenir de ces deux années et je recommande cette expérience au sein du lycée Edmond Perrier !"
Ophély (promotion 2017) diplômée de l’INSA Strasbourg, spécialité Génie Climatique et Energétique (major de promotion)
Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai choisi d’effectuer mes deux années de classes préparatoires au Lycée Edmond Perrier de Tulle en raison de sa « petite » taille.
Ayant eu la chance de faire partie d’une promotion de dix élèves, je peux vous témoigner de ses avantages : une entraide et un soutien entre camarades quotidiens, un esprit de compétition inexistant. Par ailleurs, un suivi personnalisé vous est offert et les professeurs, tous passionnés par leur matière, prennent le temps nécessaire d’expliquer afin que tous les élèves soient sur un pied d’égalité.
Même si le rythme et la quantité de travail sont beaucoup plus soutenus que ceux des années du secondaire, vous pouvez toujours compter sur la disponibilité, l’écoute et le soutien permanent de l’équipe enseignante.
Au cours de ces deux années, j’ai acquis une solide méthode de travail durable dans le temps, ainsi qu’un grand nombre de connaissances dans différents domaines.
De par son esprit convivial et familial, je vous conseille fortement de rejoindre cette classe préparatoire.
Mathieu (promotion 2014) Diplômé de l'ISAT Nevers en 2017
"La prépa de Tulle est une prépa à taille humaine. L'effectif réduit permet aux professeurs d'être plus à l'écoute des élèves sans perdre en qualité d'enseignement. D'un point du vue personnel cette prépa m'a permis de réaliser mes objectifs ce qui n'aurait pas forcement été possible ailleurs."
Estelle (promotion 2014) Diplômée de l'ENSCPB
Mon parcours étudiant pourra, je l’espère, donner des idées aux élèves moyens qui hésitent à entreprendre l’aventure qu’est la CPGE.
J’étais une élève moyenne au lycée et je n’ai même pas eu de mention au bac ! J’ai été acceptée à la CPGE d’Edmond Perrier pour la rentrée 2012/2013. […]
Durant ces deux années, une semaine type ressemblait à des cours de 8h à 17h du lundi au vendredi, avec deux colles par semaine (après les cours) et un devoir surveillé (le lundi ou le vendredi après-midi). Alors une chose est sûre, en prépa, le travail est le mot d’ordre. Mais, comme tout coureur de fond, le plus important est de garder la motivation sur les deux ans. Pendant ces deux années, je dois dire que je n’ai pas brillé par mes notes (surtout en maths !). Cependant, la principale chose que l’on apprend en classe prépa, c’est une méthode et une capacité de travail insoupçonnée. […]
Heureusement, à Edmond Perrier, les élèves n’étaient pas en compétition ; ce qui est, je pense, très important pour le moral des élèves. Quant aux professeurs, ils étaient bienveillants et soucieux de notre réussite. Un autre point important en CPGE, c’est le soutien que peuvent apporter les parents à leurs enfants ; sachez, que vos enfants auront besoin de votre aide dans les tâches du quotidien ou seulement d’un soutien moral. C’est bien un travail d’équipe qu’est l’entreprise d’une CPGE.
A la fin de ma deuxième année, j’ai passé les concours E3A et CCP. Je n’ai pas obtenu les écoles que je souhaitais, alors j’ai fait le choix de partir en L3 physique-chimie, grâce à l’équivalence que nous donne ces deux années de classe prépa. J’ai validé ma L3 avec une moyenne de 13 ; pas vraiment une super moyenne mais assez pour avoir la mention assez bien et prendre une revanche sur mon bac sans mention ! J’ai tout de même déposé mon dossier pour intégrer l’ENSCBP filière CGP (Chimie Génie Physique). Je ne pensais pas être acceptée et pourtant, j’y ai fait ma rentrée en 1ère année en 2015/2016. […]
Cela fait maintenant plus d’un an que je suis diplômée et j’ai réalisé ma première expérience professionnelle dans l’entreprise où j’ai effectué mon stage de fin d’étude. […]
L’expérience de la prépa m’a apporté une capacité d’organisation, une force de travail et une énorme persévérance. Elle m’a aussi apporté une amitié qui dure depuis plus de 7 ans !
J’espère que la lecture de mon parcours aura donné de l’espoir à certains lycéens qui n’osent pas se lancer de peur de ne pas être à la hauteur du challenge. Ce qui m’a permis d’y arriver n’est rien d’autre que le travail
Maxime (promotion 2011) Ingénieur diplômé de UTT. Aujourd'hui Ingénieur de recherche à l'Institut National Polytechnique de Grenoble
Après l'obtention de mon BAC Scientifique, j'ai voulu m'orienter vers des études en physique et chimie. C'est tout naturellement que j'ai choisi la prépa la plus proche de chez moi. Les conditions de travail étaient tout simplement parfaites : classes de moins de 20 étudiants avec accès permanent à la chambre et des cours donnés par des enseignants impliqués et très doués, tant sur le plan pédagogique que technique. Mes deux années à Tulle m'ont permis d'obtenir les bases nécessaires pour réussir mon parcours universitaire.
J'ai choisi de m'orienter vers un profil "ingénieur en matériaux" de l'Université de Technologie de Troyes. Le choix d'une Université de Technologie vient du fait qu'il est possible de créer son parcours en choisissant les enseignements, à la manière des universités anglo-saxonnes. Après trois années d'études et un semestre Erasmus au département "Ingénierie" de l'Université de Malte, me voilà diplômé ingénieur. Afin de rendre mon parcours plus complet j'ai choisi de suivre un double diplôme en validant un master en mécanique pour un semestre supplémentaire.
Après mon stage de fin d'études, j'ai été employé comme ingénieur d'études au CNRS pendant un an. Puis j'ai fait une thèse de doctorat en mécanique. L'année d'après je travaillais pour Grenoble INP comme enseignant-chercheur à l'école d'ingénieur ENSE3. Maintenant je travaille comme ingénieur de recherche dans un laboratoire de Grenoble INP.