• Ophély (promotion 2017) diplômée de l’INSA Strasbourg, spécialité Génie Climatique et Energétique (major de promotion)

    Après l’obtention de mon baccalauréat scientifique, j’ai choisi d’effectuer mes deux années de classes préparatoires au Lycée Edmond Perrier de Tulle en raison de sa « petite » taille. Ayant eu la chance de faire partie d’une promotion de dix élèves, je peux vous témoigner de ses avantages : une entraide et un soutien entre camarades quotidiens, un esprit de compétition inexistant. Par ailleurs, un suivi personnalisé vous est offert et les professeurs, tous passionnés par leur matière, prennent le temps nécessaire d’expliquer afin que tous les élèves soient sur un pied d’égalité. Même si le rythme et la quantité de travail sont beaucoup plus soutenus que ceux des années du secondaire, vous pouvez toujours compter sur la disponibilité, l’écoute et le soutien permanent de l’équipe enseignante. Au cours de ces deux années, j’ai acquis une solide méthode de travail durable dans le temps, ainsi qu’un grand nombre de connaissances dans différents domaines. De par son esprit convivial et familial, je vous conseille fortement de rejoindre cette classe préparatoire.


  • Mathieu (promotion 2014) Diplômé de l'ISAT Nevers en 2017

    "La prépa de Tulle est une prépa à taille humaine. L'effectif réduit permet aux professeurs d'être plus à l'écoute des élèves sans perdre en qualité d'enseignement. D'un point du vue personnel cette prépa m'a permis de réaliser mes objectifs ce qui n'aurait pas forcement été possible ailleurs."


  • Estelle (promotion 2014) Diplômée de l'ENSCPB

    Mon parcours étudiant pourra, je l’espère, donner des idées aux élèves moyens qui hésitent à entreprendre l’aventure qu’est la CPGE. J’étais une élève moyenne au lycée et je n’ai même pas eu de mention au bac ! J’ai été acceptée à la CPGE d’Edmond Perrier pour la rentrée 2012/2013. […] Durant ces deux années, une semaine type ressemblait à des cours de 8h à 17h du lundi au vendredi, avec deux colles par semaine (après les cours) et un devoir surveillé (le lundi ou le vendredi après-midi). Alors une chose est sûre, en prépa, le travail est le mot d’ordre. Mais, comme tout coureur de fond, le plus important est de garder la motivation sur les deux ans. Pendant ces deux années, je dois dire que je n’ai pas brillé par mes notes (surtout en maths !). Cependant, la principale chose que l’on apprend en classe prépa, c’est une méthode et une capacité de travail insoupçonnée. […] Heureusement, à Edmond Perrier, les élèves n’étaient pas en compétition ; ce qui est, je pense, très important pour le moral des élèves. Quant aux professeurs, ils étaient bienveillants et soucieux de notre réussite. Un autre point important en CPGE, c’est le soutien que peuvent apporter les parents à leurs enfants ; sachez, que vos enfants auront besoin de votre aide dans les tâches du quotidien ou seulement d’un soutien moral. C’est bien un travail d’équipe qu’est l’entreprise d’une CPGE. A la fin de ma deuxième année, j’ai passé les concours E3A et CCP. Je n’ai pas obtenu les écoles que je souhaitais, alors j’ai fait le choix de partir en L3 physique-chimie, grâce à l’équivalence que nous donne ces deux années de classe prépa. J’ai validé ma L3 avec une moyenne de 13 ; pas vraiment une super moyenne mais assez pour avoir la mention assez bien et prendre une revanche sur mon bac sans mention ! J’ai tout de même déposé mon dossier pour intégrer l’ENSCBP filière CGP (Chimie Génie Physique). Je ne pensais pas être acceptée et pourtant, j’y ai fait ma rentrée en 1ère année en 2015/2016. […] Cela fait maintenant plus d’un an que je suis diplômée et j’ai réalisé ma première expérience professionnelle dans l’entreprise où j’ai effectué mon stage de fin d’étude. […] L’expérience de la prépa m’a apporté une capacité d’organisation, une force de travail et une énorme persévérance. Elle m’a aussi apporté une amitié qui dure depuis plus de 7 ans ! J’espère que la lecture de mon parcours aura donné de l’espoir à certains lycéens qui n’osent pas se lancer de peur de ne pas être à la hauteur du challenge. Ce qui m’a permis d’y arriver n’est rien d’autre que le travail


  • Maxime (promotion 2011) Ingénieur diplômé de UTT. Aujourd'hui Ingénieur de recherche à l'Institut National Polytechnique de Grenoble

    Après l'obtention de mon BAC Scientifique, j'ai voulu m'orienter vers des études en physique et chimie. C'est tout naturellement que j'ai choisi la prépa la plus proche de chez moi. Les conditions de travail étaient tout simplement parfaites : classes de moins de 20 étudiants avec accès permanent à la chambre et des cours donnés par des enseignants impliqués et très doués, tant sur le plan pédagogique que technique. Mes deux années à Tulle m'ont permis d'obtenir les bases nécessaires pour réussir mon parcours universitaire. J'ai choisi de m'orienter vers un profil "ingénieur en matériaux" de l'Université de Technologie de Troyes. Le choix d'une Université de Technologie vient du fait qu'il est possible de créer son parcours en choisissant les enseignements, à la manière des universités anglo-saxonnes. Après trois années d'études et un semestre Erasmus au département "Ingénierie" de l'Université de Malte, me voilà diplômé ingénieur. Afin de rendre mon parcours plus complet j'ai choisi de suivre un double diplôme en validant un master en mécanique pour un semestre supplémentaire. Après mon stage de fin d'études, j'ai été employé comme ingénieur d'études au CNRS pendant un an. Puis j'ai fait une thèse de doctorat en mécanique. L'année d'après je travaillais pour Grenoble INP comme enseignant-chercheur à l'école d'ingénieur ENSE3. Maintenant je travaille comme ingénieur de recherche dans un laboratoire de Grenoble INP.